23 février 2013
D’où vient ce sang vénéneux ?Continuer la lecture de Poison Amour Vérité
Ce flux qui passe aux aveux.
Quel est ce conflit intérieur,
Qui m’arrache le cœur ?
23 février 2013
D’où vient ce sang vénéneux ?Continuer la lecture de Poison Amour Vérité
Ce flux qui passe aux aveux.
Quel est ce conflit intérieur,
Qui m’arrache le cœur ?
Nous sommes dans un jeu. Nos peurs sont les seuls remparts. Notre obstination nos douleurs non acceptées sont le signe de notre emprisonnement.
Ainsi que ce qui va à l’encontre de la vie.
Nous sortons de cette prison terrestre à chaque mort et y retournons si nous ne sommes pas à cent pour cent purs.
Nous sommes dans un jeu et nous vivons une épreuve majeure que l’on doit obligatoirement franchir. C’est pour ce but précis que nous sommes sur terre.
Continuer la lecture de Nous vivons dans un jeu!Le tourment d’un mensonge ne vaut pas la quiétude d’une vérité.
CHumain
À la santé de ce qui tourne !
Comme une vague mourante,
Quelque chose glisse et va,
S’échappe en rampant, car on ne s’en aperçoit pas…
Continuer la lecture de Le dormeur qui attendLes gens sont dangereux émotifs et passionnels, ils sont déconnectés de la réalité. La colère est encore une partie d’eux-mêmes et peut les entraîner à ne plus se contrôler. C’est pour cela qu’ils ne peuvent pas êtres libres. Ils ont besoin de contrôle sans quoi ils ne peuvent pas êtres eux-mêmes; en ce que la nature a décide pour eux, l’Amour inconditionnel des uns et des autres et cela par dessus tout.
Continuer la lecture de Les gens sont dangereux !« Dans une gare vous croisez des gens qui ont réussi et d’autres qui ne sont rien. »
Est-il possible de conjuguer politique et humilité ? Dirigeance et compatissance ? Réforme et compréhension humaine ?
« Travailler plus pour gagner plus. »
Sommes-nous des bêtes de somme vouées à une vie de labeur ?
Les hommes ne sont convaincus de vos raisons, de votre sincérité, et de la gravité de vos peines, que par votre mort. Tant que vous êtes en vie, votre cas est douteux, vous n’avez droit qu’a leur scepticisme.
Albert Camus, La chute (Roman de 1956)